Un cadeau de mon amie Nanou

Petit poème pour une amie sincère

Petits mots pour une femme

 Fraîche, honnête pleine de charme

Qui m'est si chère

Cette femme c'est toi,

Et c'est une dédicace personnelle

Pour une femme exceptionnelle

 Que je voudrais près de moi.

 Une femme qui me comprend,

 Qui me remonte le moral

 Une femme droite et patiente

 Qui sait ce qu'est avoir mal.

 Une femme adorable,

 Toujours à l'écoute de ses amies

 Une femme admirable,

 Qui se soucie d'autrui.

 Une amitié comme j'en ai toujours rêvée,

 Une femme toujours présente au moindre souci

 Une femme qu'on peut toujours appeler,

Une femme véritable amie.

 Ces mots sont pour toi,

 Ces mots je les pense sincèrement

 Ces mots sont le reflet de ce que je vois,

 Mais surtout de ce que je ressens.

 Toi tu es entrée dans ma vie

Au moment où j'en avais le plus besoin

 Et tu ne connaîtras jamais la porte de sortie

 Tant que je serais dans le coin.

Amitié Cricri

J’écris ces quelques lignes comme mon cœur le ressent
 A cet instant ou la lune se cache derrière  cet instant
 Je me souviens de tous ces merveilleux moments
 Lorsque nous étions ensemble, me prenant par la main.

Mon âme vacille entre la raison et la passion
 De l’indifférence à l’amour  de cette vie à la mort
 
Je sens ton regard qui m’observe encore

 De tes yeux  qui me transpercent  sans interruption.
 
 Aujourd’hui  tes  paroles ruissellent dans le silence
 

Calme et apaisée,  l’amour reprend ses droits

 Pour me dire je t’aime à l’écho de ta voix
 Je veux y croire  même si tu n’es plus là
 
 De ton absence j’en ai pleuré des soirs entiers

 Crier ton nom dans mes plus tendres pensées

 J’ai pressé mon cœur, mon âme à en saigner
 
 Pour qu’il ne reste que le mot aimer pour l’éternité...
 

            Auteur :Loverdose

http://loverdose.eklablog.net/

Qu’a-t-il fait pour que j’en tombe amoureuse
J’ai beau m’étourdir, me raisonner
J’en suis amoureusement épris
Et je n’arrive pas a l’oublier

Il a fait naître en moi
Au fil des jours , la joie
C’est un jeu dangereux
Je joue avec le feu

Ces flammes qui me brûlent
Me consument le cœur
Cet amour qui arrive
Me transforme et me chavire

Je suis une autre femme
Et mon cœur s’enflamme
Que c’est grisant l’interdit
Lorsque je pense très fort a lui

Chaque instant en sa présence
Est un baume sur ma vie
Car femme infidèle , je suis
En étant amoureuse de lui

Je le découvre a travers des mots
Qui sont caresse sur ma peau
Je sens sa douce présence
Malgré cette horrible distance

Je me suis mise a rêver
Qu’il venait m’embrasser
Contre moi, se blottir
Et se consumer de désir

Malgré le port de mes chaines
Je voudrais être sienne
Vivre une nouvelle aventure
Pour que ma passion perdure

Je laisse parler mon cœur
Le lui laisse chanter mon bonheur
Je voudrais être ce qu’il aime
Et voler vers lui par ce poème ..

auteur inconnu

 La tendresse

C'est une bulle de coton
Où des morceaux de cœur y font
Légers comme
Des envols de paillettes.
La tendresse,
C'est l'expression de nos pensées
Comme des doigts enlacés
Comme des émotions retenues
Comme une voix qui s'est tue ...
La tendresse,
Ce sont les ailes du plaisir
Qui se referment en soupirs,
Sur un cœur brûlant de tendresse
Et des mains remplies de caresses.
La tendresse,
C'est dire tout simplement ,
Le cœur débordant d'ivresse,
À tous les humains en détresse :
Pour moi, Tu es quelqu'un d'important..

Tendres Baisers D'amitié...

FRANCIS!!!.
Poème de Francis N

http://francis-n.eklablog.com/

Ce matin-là, au moment de me lever
J’avais vu, que mon ordi était resté allumé
Il y avait même un beau message dessus
J’étais heureux, de ce que j’y avais lu

Bonjour me disait-on, il fait quel temps chez toi
Je te souhaite, une journée pleine de joies
Et fais si tu veux, que chacune de tes heures
Soit remplie de beaux p’tits bonheurs

Il est rare qu’une journée commence ainsi
J’avais été sans doute le plus surpris
D’autant d’ailleurs, que ce matin-là
Je n’avais pas la bonne humeur en moi

Y’a des jours comme ça, ou l’on ne vit pas
Y’a des jours aussi, ou rien ne va
Des jours ensoleillés, ou l’on a froid
Ou les p’tits bonheurs nous glissent entre les doigts

Mais ce lundi-là, j’avais retrouvé mon sourire
Et je prendrais le temps de me faire plaisir
Ce souhait, en était vraiment un d’amitié
Une preuve certaine que j’étais aimé

Je l’avais donc à mon tour, renvoyé à plusieurs
Il mettrait aussi, du soleil dans leur cœur

Texte Claude Marcel Breault

Par Paul Verlaine

Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu'éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.

Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle
De vigne folle avec les chaises de rotin...
Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin
Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.

Les roses comme avant palpitent; comme avant,
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m'est connue.

Même j'ai retrouvé debout la Velléda,
Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue,
- Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.

L'interdit.

Deux êtres marchèrent chacun de leur coté.

Sans encontre aux chemins de la vie qu'ils croisèrent,

Un jour a l'intersection des routes tracées par leur destin,

leurs regards fût attiré l'un vers l'autre

peu a peu leurs livres souvrirent .

Il s'écouterent l'un et l'autre pendant de longue et belles heures

cherchant  et trouvant des similitudes de chacun leurs livres

Leurs joix, leurs peines, leurs idées et

leurs rêves se rejoingaient sur tous les points,

les rapprochèrent de plus en plus,

Mais Il y avait aussi dans chaqun de leur livre,

une page fermé , une page innacessible,

Ensemble ils chercherent les multiples façons

de l'ouvrir sans la déchirer, sans l'abimer.

ce qui était impossible.. Même écrite au fil du temp, au fils des ans

elle était forte et en même temp si fragile..

Les multiples embuches soudain assombrit leurs rêves

se regardant l'un et l'autre les yeux en larme ,

s'apercure que ce n'était qu'une croisée de leurs chemins,

leurs mains liées depuis ce temp se laisserent,

marchant tête baissé , le coeur brisé

ils avaient découvert que dans chaque livre de la vie 

il y a une page... la page de l'interdit

Texte
Le_rêveur ...Jan 2011
 

   Pause d'automne  

Comme si le ciel prenait feu,
le soleil de ses rayons multicolores, transperce le firmament
il nous annonce la fin d'une belle journée ensoleillée,
de son coté dame la lune elle, de son sourire nous invite a la romance.

A l'horizon mon regard est attiré vers un son saisonnier..
En file indienne les oies sauvages gracieuses et agiles se dirigent
vers des cieux plus doux et plus clément ,
nous les reverrons qu'au printemps venu.

Un vent doux caresse mon visage,
il fait aussi danser les feuilles d'un gros érable
qui prend de plus en plus les couleurs de l'arc-en-ciel.

Je leve la tête, je prend une grande respiration de cet air pur qui gonfle mes poumons
j'ouvre les yeux. Une a une les étoiles s'illuminent et dansent tous autour de moi dans le ciel
qui deviens de plus en plus sombre.

Dans mes plus profondes pensées tu es là tous près de moi
je revois ton visage si doux, tes yeux étincelants,
je peux sentir ton parfum qui m'enivre depuis toujours,
je nous vois danser coller sous les reflets du clair de lune
qui de sa lumière nous guide sur son chemin ,

Mais qui est cet ange qui soudain croise mon nuage ?
Qui est cet ange qui m'enveloppe de ses ailes et qui m'apporte tellement de chaleur,
pourquoi ai je si peur, et a la fois ne ressent aucune crainte.
Peu importe qui elle est...je me sens bien... je suis bien...

Texte ...le_rêveur....2011